Voyages Paradis : Arriver au Maroc, c’est déjà énorme.

Surtout si c’est la première fois pour vous…

Mes premiers pas en descendant de l’avion.

Grâce à une patience naturelle (bon, je l’ai quand même développée après 40 000 heures de méditation), je suis détendu, même après un vol de seulement deux heures et demie et les contrôles douaniers routiniers et nécessaires. Le premier sentiment que j’éprouve en descendant de l’avion, en dehors de la précieuse chaleur de ce pays que j’aime tant, c’est l’ancrage profond à cette Terre. Je ressens l’énergie sous mes pieds. J’écoute attentivement le souffle de la terre et je me laisse aller aussi loin que possible.

Je remarque alors les Marocains qui travaillent sur la piste d’atterrissage veillant à ce que tout se déroule pour le mieux. Je leur souris, et bien sûr, ils me répondent avec un sourire et un chaleureux ‘marhaba’, ce qui signifie ‘bienvenue’.

Photo prise depuis l’avion avant d’arriver a Marrakech, quel bonheur.

Premiers Pas Hors de l’Aéroport : Plongée Immédiate dans l’Atmosphère marquante de Marrakech »

« Je sors de l’aéroport après avoir installé une nouvelle carte SIM Maroc Télécom sur mon téléphone. Parfois, j’opte pour Orange quand mes besoins en data sont importants. Pour cinquante euros, j’ai accès à tout en illimité, y compris les appels vers l’étranger. Pour moi, qui travaille constamment avec mon téléphone, c’est crucial, voire vital.

L’air chaud caresse ma peau alors que je prends une inspiration profonde. À ma droite, un stand me permet de commander un taxi pour me rendre à mon riad ou à mon hôtel. Je m’en occupe rapidement, d’autant plus que je parle arabe, ce qui facilite les choses. De toute façon, les chauffeurs sont très arrangeants et parlent souvent français, espagnol, anglais, et parfois même allemand. C’est très simple… pour une dizaine d’euros, me voilà en route vers mon riad.

Dans le stand à droite, j’ai juste à donner l’adresse de mon Ryad. ensuite, je marche à l’endroit qui m’est indiqué par le vendeur de ticket. c’est juste un peu plus loin, impossible de le rater.

je montre mon ticket… et mon taxi me récupère et sait exactement ou me déposer.

Dans le taxi, je commence à discuter en arabe avec le chauffeur. C’est là que mon plaisir commence. Je me relaxe, et je sens mon chakra racine se réjouir. C’est ma terre natale, et je l’aborde avec le regard de la conscience éveillée.

Souvent, dès notre premier échange, le conducteur me demande quel est mon travail et comment je fais pour rayonner autant. Cela me fait plaisir, alors je partage mon histoire et commence immédiatement à diffuser cette lumière intérieure avec grâce. Neuf fois sur dix, je récupère son numéro, soit pour lui, soit pour sa famille ou ses amis, ou tout simplement pour avoir un contact de secours en cas de besoin. »

Voici Adile un collaborateur et mon chauffeur personnel si je ne loue pas de voiture.
Une rencontre Sympa avec un chauffeur

Marrakech : Plongée au Cœur de la Ville Rouge, Entre Tradition et Modernité

Marrakech, surnommée la Ville Rouge, est bien plus qu’une simple destination touristique. C’est une ville où chaque coin de rue raconte une histoire, où les murs en terre cuite résonnent des échos d’une époque révolue tout en embrassant le dynamisme du présent. Dès que l’on pénètre dans la médina, ce labyrinthe fascinant de ruelles sinueuses et de souks animés, on est immédiatement transporté dans un autre temps, un autre rythme. Les parfums d’épices se mêlent à l’agitation des marchands, créant une atmosphère à la fois envoûtante et profondément enracinée dans la culture marocaine.

Mais Marrakech ne se résume pas à son passé. La ville est un véritable carrefour entre l’authenticité des traditions et l’effervescence de la modernité. Les palais somptueux côtoient les boutiques de créateurs, les riads restaurés se transforment en havres de paix pour les voyageurs en quête de sérénité. Que vous flâniez dans les jardins luxuriants de la Majorelle, que vous sirotiez un thé à la menthe sur une terrasse surplombant la place Jemaa el-Fna, ou que vous vous perdiez volontairement dans les ruelles de la médina, Marrakech vous offre une expérience sensorielle unique, à la fois vibrante et apaisante.

Chaque visite à Marrakech est une redécouverte, un retour à des sensations oubliées, un éveil des sens dans une ville qui ne cesse de se réinventer tout en restant fidèle à son âme. C’est ici que le passé et le présent se rencontrent, créant une harmonie parfaite entre l’histoire riche et la vie contemporaine.

Mon Premier Restaurant a Marrakech.

« Chacun trouve son bonheur à sa manière ; le mien, c’est d’aller au restaurant. De toute façon, quand on séjourne dans un riad, on n’a pas de cuisine pour être ZE chef cuisinier. Donc, pour la nourriture, il faut sortir… mais encore faut-il savoir où aller. Heureusement, grâce à Google et aux avis sur internet, il est très facile de dénicher de petites perles culinaires. Pour ma part, je choisis une valeur sûre : le Toubkal. Très bon marché, avec des produits de qualité, une cuisine propre… et une bonne réputation. Les tables se remplissent rapidement. Toutes les classes sociales viennent manger ici, mais le restaurant snack reste populaire. J’y vais pour le côté économique, mais surtout pour le côté populaire, car il est situé en plein cœur de la place Jemaa el-Fna. On pourrait dire que c’est la place la plus animée de Marrakech, et pour moi, c’est l’endroit idéal pour commencer mon séjour.

Je ressens immédiatement la vie quotidienne des Marocains, je m’imprègne de l’ambiance, de l’atmosphère chaude et chaleureuse, presque argileuse. Il semble que le Maroc ait une vibration très TERRE. Rien d’étonnant, les maisons sont faites de terre, même en plein centre-ville, et on en découvre ici et là.

Quand mes premières dattes arrivent, accompagnées d’un jus frais pressé à la main, ou d’un smoothie selon l’humeur, je ressens le bonheur de payer mon smoothie entre 1 et 2 euros… contre 4 à 7 en France. C’est quand même appréciable ! Cette fois-ci, je commande une omelette à la tomate. La prochaine fois, je prendrai un couscous végétarien. Tout est délicieux et servi en moins de 15 minutes (et bien souvent en 5 minutes).

La soupe chaude traditionnelle, appelée harira, est bien sûr un incontournable à découvrir si vous êtes nouveau dans ce pays. C’est tellement bon. Quand j’étais petit, cela faisait partie des moments chaleureux en famille. La harira a un véritable pouvoir d’unification. C’est une atmosphère très spéciale qui rappelle la subsistance et la nécessité de vivre… Manger une harira, c’est survivre un jour de plus pour les Marocains. La partager, c’est créer un chemin vers la richesse et l’abondance de jours meilleurs, où chacun fait de son mieux.

Ce mélange d’intentions est palpable dans cette soupe, pour ceux qui savent y prêter attention. Attention toutefois à l’acidité, car son pH n’est pas neutre, hahaha. Donc, un bol oui, mais trois, gare aux brûlures d’estomac ! J’en prendrai un, deux maximum si je suis complètement séduit par son goût si atypique.

Les sons de la place Jemaa el-Fna me parviennent, et je suis soit seul, soit avec mon groupe. Dans ce dernier cas, l’énergie est incroyable. Pour la première soirée, quand je suis avec mon groupe, le Toubkal est un choix rare que je peux faire. En ce moment, je m’oriente vers un autre endroit, plus prestigieux et calme, dont je vous parlerai prochainement. »

Vous l’avez reconnu, le fameux couscous Végétarien… FRANCHEMENT C’EST BON…

Et ci dessous je vous présente… LE TAJINE VEGETARIEN… Ohhh… RIEN A DIRE. les saveurs sont tellement extraordinaires que j’ai envie d’ouvrir un restaurant la bas :S

Regarde un peu ça… Tu n’as pas juste envie de te régaler… directement, sans détour… et faire Rhammmm ! 😀 dans ma bouche, ou dans celle de mon partenaire ? :p

Le msemen et la soupe populaire  »Hrera »

Je te présente maintenant le msemen… Pour moi, venir au Maroc sans en manger n’a aucun sens. Quand j’étais petit, je vivais en Algérie, et j’en mangeais souvent, tout comme de la harira… Le msemen, c’est vraiment délicieux.

Mais que dire de plus, grand Dieu, quand on a la bouche pleine de msemen ? À part… Crunch crunch, c’est tellement croquant et bon !

Hahaha.

Le msemen, c’est simplement de la farine de blé, du sel et de l’eau, mais avec un processus de préparation particulièrement long pour les non-initiés. J’ai déjà essayé d’en faire à la maison, et je n’ai toujours pas compris comment j’ai réussi alors que j’avais l’impression de tout rater à chaque étape. Retrouver ce msemen cuit dans mon assiette relevait presque du miracle. Et pourtant, cela semble si simple quand on voit les femmes le préparer devant nos yeux.

Faites-leur un sourire ; elles aiment voir que nous apprécions le fruit de leur travail, tout comme nous admirons leur savoir-faire. Je paie toujours mon msemen quelques dirhams de plus que le prix demandé. En général, cela varie selon l’endroit, mais vous pouvez en avoir pour 2 à 5 dirhams. On vous le vendra souvent à 7 ou 15 dirhams, mais à ce prix-là, c’est vraiment TROP CHER

Dans la photo tu vois le msemen et la soupe traditionnelle Hrera. c’est le plat du pauvre. Je crois même qu’il est appelé comme ça, ce n’est pas qu’une expression. Et tu peux manger ça pour 6 dhiram la soupe et 3 a 4 dhiram le msemen. ce qui te donne environ 1€.

Souvent je paye des soupes aux gens autour de moi, ça me fait tellement plaisir, et ça les rend tellement heureux, ce n’est pas un geste anodin…

Si tu remarques juste à droite, il y a ma théière avec du sucre au thé. non je plaisante, je le prend sans sucre ou sinon je rajoute un petit brin de rien du tout pour avoir ce fameux gout unique du thé marocain. Ah ça… un grand classique, j’écrirais peut être un article rien que sur ça ! hahaha.

Les Remparts de la Médina : Une Immersion dans l’Atmosphère Authentique du Maroc »

Les Remparts de la Médina de Marrakech…: Une Immersion dans l’Atmosphère Authentique du Maroc

Quelque chose me touche profondément là-bas… ce sont les murs en terre gigantesques, les remparts de la médina. Quand je les vois, je suis émerveillé par cette terre qui s’élève en un grand mur, une véritable muraille. Si présente, si concrète, si enracinée dans cette terre (et oui, c’est vraiment de la terre !). J’adore cela… J’ai le sentiment que ces remparts dégagent une aura argileuse qui imprègne l’air d’une teinte sableuse, une impression de nuances de marron flottant autour de moi.

Avez-vous déjà contemplé un paysage entièrement fait de nuances de marron ? C’était dans le désert, l’un des paysages les plus beaux que j’aie jamais vus dans ma vie.

Je vois ces bâtisses si particulières qui font tout le charme du Maroc… ces arabesques voluptueuses, ces portes d’entrées incroyables qui nous apaisent instantanément. C’est difficile de décrire ce sentiment… je me sens touché, comme si j’avais moi-même sculpté ces portes ornées de motifs géométriques spiralaires, tétraédriques, ou solaires.

Je me sens bien là-bas… je me sens bien… C’est comme une parenthèse dans la vie, un moment qui nous ressource là où nous en avons le plus besoin, là où nous recherchons un ancrage. Un sentiment que beaucoup partagent en venant avec moi.

Chaque terre réveille en nous quelque chose de particulier, et le Maroc réveille ce feu sacré de la vie en éveil, cette quête intérieure parfois. J’aime beaucoup ce caractère distinctif. Ayant vu plusieurs pays, je maintiens que le Maroc offre une vue riche et émerveillante, unique en son genre..

Dans cette photo, en plus des remparts vous voyez une portes traditionnelle qui amène quelque part (principe élémentaire d’un passage ismaël lol)

J’aime ces portes qui semblent écrire l’histoire d’une vie qui se retrouve vers un meilleur. Je n’en ai jamais vue ailleurs. Ah si ! En Inde.

Les remparts de la médina… impressionnant. Surtout quand on les voit depuis l’intérieur et non depuis l’extérieur. Ci-dessous, voici une autre porte. Magnifique n’est ce pas ? C’est vraiment chaleureux de passer par une porte faite en Terre… ça me fait quelque chose de presque rassurant. comme ci la terre était en accord avec une telle construction.

Portes ornementé dans le lieu qui vous accueillera au désert du Sahara Marocain.

Cette porte en bois massif est un magnifique exemple de l’artisanat marocain, alliant tradition et élégance. Finement sculptée, elle est ornée de motifs géométriques et symboliques, caractéristiques du style architectural marocain. Les panneaux de bois sont minutieusement travaillés avec des détails qui évoquent à la fois la richesse culturelle et la spiritualité profonde du Maroc. Les ferrures en métal ajoutent une touche d’authenticité et de robustesse, témoignant de la durabilité de l’artisanat local.

Les couleurs naturelles du bois, avec ses teintes chaudes et terreuses, s’harmonisent parfaitement avec l’environnement, évoquant l’argile et la terre du désert marocain. Les formes géométriques des gravures, ainsi que les incrustations décoratives, rappellent l’héritage artistique du pays, où chaque ligne et chaque courbe semblent raconter une histoire ancienne.

Cette porte n’est pas seulement une entrée ; elle est une invitation à découvrir un univers où l’esthétique rencontre le sacré, où chaque détail est conçu pour évoquer une sensation de paix et d’appartenance. Franchir cette porte, c’est entrer dans un espace de sérénité et de contemplation, propice à la méditation et à la retraite spirituelle

La traversée de l’Atlas en minibus tout confort.

À ce stade du voyage, tout se déroule à merveille. La nuit a été sublime, passée dans un riad luxueux où le confort et le plaisir se conjuguent, même dans les moments simples comme celui de se doucher.

Mon voyage se divise en deux parties distinctes : soit je voyage seul, soit je guide un groupe. Lorsque je suis seul, je loue une voiture et parcours le Maroc en écoutant les enseignements de mon bien-aimé Mahavatar. Je me laisse guider par sa main pleine de grâce et de volupté, confiant que rien ne peut m’atteindre sous sa protection. Soit je guide un groupe et alors, je me retrouve dans une telle joie… Jours 2 de la retraite au petit matin, l’on rencontre notre chauffeur et nous y allons.

Traverser l’Atlas est une expérience en soi, un moment méditatif que j’apprécie particulièrement. C’est une opportunité pour chacun de rester centré sur lui-même, d’entrer dans une méditation profonde. Pendant ce temps, je commence à prier pour mon groupe, discutant avec le Ciel sur ce qui nous attend. Je consulte les lignes du temps qui définiront notre nouvel idéal. Tout en avançant, je jette un coup d’œil aux participants, je leur souris… je ressens cette énergie familiale, cette bonne humeur qui nous porte. Nous nous dirigeons vers le désert.

En route, nous faisons quelques arrêts pour nous rafraîchir, manger, et prendre une pause. Ces moments dégagent une atmosphère d’ancrage, où nous pouvons contempler quelque chose d’aussi proche de la terre, de la simplicité. Parfois, nous sommes confrontés à la dure réalité de la vie des Marocains que nous croisons, marquée par une rusticité extrême. Certains endroits de notre itinéraire nous rappellent la profonde pauvreté de ce peuple. L’un des participants de la retraite, Lilian, que j’apprécie beaucoup, m’a dit : « Je trouve que c’est une terre de vérité… si proche de nos racines que personne ne fait semblant. »

En effet, il n’y a pas de place pour la superficialité dans ces régions. Il est crucial de rester actif pour gagner sa vie ; le luxe d’être assisté et de vivre avec peu d’efforts n’est pas une réalité au Maroc. Cela nous permet d’observer un comportement de survie intense, semblable à ce que l’on peut voir en Inde ou dans d’autres parties de l’Afrique.

Je pense qu’il est important d’accepter cette réalité et de s’en inspirer. Au Maroc, chacun est libre de faire fortune, car le savoir est accessible à tous pour quelques dirhams seulement. Tout le monde peut se former et apprendre, et d’ailleurs, de nombreux jeunes utilisent les réseaux sociaux à leur avantage, tandis qu’une partie de la population reste attachée aux traditions.

Cela m’amène à réaliser que, malgré les différences culturelles, les défis restent les mêmes partout dans le monde : le même fossé entre pauvreté et richesse, les mêmes enjeux, mais avec des costumes différents. Je n’ai pas trouvé de différence entre les Français sans abri et les Marocains sans abri. C’est pareil. Et il en va de même pour ceux qui possèdent des moyens plus élevés…

Tout cela nous pousse à une réflexion profonde sur nous-mêmes, notre condition, notre nature, nos choix, notre amour, ce que nous méritons, nos visions…

Ce voyage transforme notre regard sur nous-mêmes.

J’ai particulièrement aimé emmener ma fille au Maroc pour qu’elle soit témoin de la pauvreté et qu’elle apprenne le sens du partage, de la reconnaissance, et de la gratitude. Il est essentiel, à mon avis, de lui ouvrir les yeux et de lui montrer ce qui est réellement ESSENTIEL.

Amen.

Ma fille rencontre le Désert du Sahara Marocain pour la première fois et commence à Danser la Grâce. Un pur Bonheur

Danses Sacrées immortalisées

Je suis pris en cet photo par une main d’innocence qui a su immortaliser un moment plein d’abandon en la Grace Divine… C’est pourquoi durant mes retraites au Sahara. Je fais danser mes participants selon le meilleur.

Je ressens en me voyant dans cette photo le sens de ma vie. Une jouissance éternelle dans les bras de mon bien aimé. Et j’en suis heureux.

Je vous envoie Ravi !

Avez vous aimé cet article ? j’y ai passé du temps et c’était super. écrire un tel bout de vie est formidable, j’aime tellement ça, et je me promet de vous en faire plein d’autres… tellement plein d’autres… vous allez recevoir beaucoup de richesse par le biais de mon blog.

je nous aime…

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Ismaël Giri Guru Serviteur Du Haut Dharma, Fils de Mahavatar Babaji.

J’ai vécu un éveil spirituel lorsque j’étais athé et plein de drogues. ma vie n’avais aucun sens et j’en voulais à tout ce qui pouvait avoir une conscience. je suis révélé en tant que serviteur bienfaiteur et enfant du maitre Mahavatar Babaji, le grand saint et Roi des Roi. Amen. je suis la pour servir le monde et l’humanité a travers de nombreuses oeuvres.

Ismaël Giri Guru

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Amen.


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